UDITE a décidé de demander spécifiquement aux directeurs généraux locaux de donner leur avis personnel sur cette liste restreinte. Toutes les associations membres ont répondu à ce questionnaire : 139 au totale.

Il est important de souligner que des collègues de municipalités de différentes tailles ont participé à l'enquête : 42% des réponses provenaient de municipalités de moins de 5 000 habitants ; 39% de municipalités entre 5 000 et 50 000 habitants et 19% de municipalités plus grandes de plus de 50 000 habitants.

Bien qu'il ne puisse être considéré comme un échantillon représentatif, le résultat donne une indication forte.

Les trois premiers peuvent être déterminés comme suit :

1.            Interruption des processus commerciaux réguliers (continuité des activités)

2.            Situation financière du financement (du gouvernement central et) des autorités locales

3.            Des retards importants dans des plans politiques essentiels, causés par le ralentissement des processus politiques.
 

Pour compléter le top 5, voici ce qui suit :

4.            Une augmentation rapide du chômage et de la dépendance aux banques alimentaires

5.            Réduction de la résilience face à d'autres calamités pendant la pandémie

En ce qui concerne les besoins des dirigeants territoriaux, les éléments suivants sont placés dans les trois premiers :

- Des protocoles de communication et de transparence appropriés pour les employés et les citoyens

- Connaissances et compétences liées à la gestion efficace des crises parmi les dirigeants du secteur public

- Continuité de la gestion des ressources humaines, soutien psychologique des propres employés

Le Comité des régions et le Conseil des communes et régions d'Europe mènent actuellement une enquête similaire – lire plus